Jean-Jacques Rousseau incarne la mauvaise conscience des Lumières : là où ses contemporains voient une logique du progrès, il s’inquiète des conséquences de la technique et de toutes les formes politiques inégalitaires. Il plaide pour un monde sans «surnuméraires». Mais n’est-il que cette mauvaise conscience ? Il y a chez lui une volonté d’émanciper l’humanité, une volonté de retrouver «l’homme de l’homme» qui se déploie dans une philosophie politique et éducative. Un concept clé structure sa réflexion : celui de perfectibilité. Notre capacité à progresser n’est-elle pas, aujourd’hui, à interroger de façon critique afin d’en méditer les limites et les insuffisances ?
La pensée de Rousseau a été l’objet lors de l’année 2012 de discussions vives et passionnées car elle demeure dans ses méandres et ses contradictions celle qui nous interroge sur les valeurs de notre modernité. Les textes de cet ouvrage tentent d’en saisir les contours à travers les œuvres du promeneur du vallon des Charmettes.
Jean-Jacques Rousseau, l’Homme comme projet inachevé
16,00 €
Sous la direction d’Annie Barthélémy, Pascal Bouvier, Florence Clerc, Michael Kohlhauer
Jean-Jacques Rousseau incarne la mauvaise conscience des Lumières : là où ses contemporains voient une logique du progrès, il s’inquiète des conséquences de la technique et de toutes les formes politiques inégalitaires. Cet ouvrage reflète les discussions passionnées et les interrogations sur les valeurs de notre modernité.
Le sommaire du livre: Rousseau l’homme comme projet inachevé
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Poids | 331 g |
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Dimensions | 15 × 23 cm |
Auteur | Barthélémy Annie, Bouvier Pascal, Clerc Florence, Kohlhauer Michael |
Collections & revues | Ecriture et représentation |
ISBN-13 | 978-2-919732-22-7 |
ISSN | 1774-3842 |
Date de parution | 2014-02-04 |
Thème du livre | Philosophie |